Sept joueurs belges et quatorze Français ont au moins un parent d’origine africaine. Un record dans cette Coupe du monde, hors équipes du continent. Décryptage.
À l’épellation, la feuille de match entre la France et la Belgique, première demi-finale du Mondial 2018 ce soir à 21h, heure russe, à Saint-Pétersbourg, vibre de nombreuses sonorités africaines. Lukaku, Mbappé, Fellaini, Umtiti, Dembélé, Fékir… autant de noms qui doivent aviver autant les sourires que les regrets, de l’Afrique du nord à l’Afrique centrale.
Car si la grande majorité de ces joueurs est née en Europe, ils ont tous au moins un parent d’origine africaine qui leur aurait donné la possibilité de porter le maillot d’un pays du continent. Seuls deux internationaux qui tenteront de gagner, ce 10 juillet, une place en finale de la Coupe du monde sont nés sur le continent africain : il s’agit du gardien français Steve Mandanda, né à Kinshasa, et de son coéquipier Samuel Umtiti, qui a vu le jour à Yaoundé au Cameroun.
Jeune afrique