Le report de son procès est dû à deux irrégularités majeures : D’abord, l’accusé principal n’aurait pas été saisi régulièrement. Puis, le délai d’affichage et de la tenue d’audience ne seraient pas respectés. Question de justice bien faite, les juges ont acquiescé.
Les avocats de Katumbi et consorts félicitent les juges pour avoir dit le droit en toute responsabilité. Le 10 octobre de cette année, la cour sera fixée sur les détails du dossier sensible du moment.
Affaire à suivre !